Retraités :Jeudi 28 mars 14h30 Ecole Militaire pour la défense des pensions et retraites

vendredi 22 mars 2013
par  Snes S3

  POUR LA DEFENSE DES PENSIONS ET RETRAITES ACTIONS

Les 16 millions de salariés retraités ne sont pas des nantis.
Ils ne sont pas responsables de la crise ni des effets désastreux des mesures d’austérité.

Avec d’autres, les retraités du SNES-FSU sont solidaires des actions pour les salaires et pour l’emploi.

La revalorisation des pensions et retraites de 1,3% au 1er avril (1,2% au titre de l’inflation prévue pour 2013 + 0,1% au titre du rattrapage pour 2012) est loin de prendre en compte la réalité de la hausse du coût de la vie, notamment celle des dépenses contraintes.

Au 1er avril sera aussi prélevée, pour les retraités imposables, la taxe de 0,3% établie pour financer la perte d’autonomie. Voyez ce qu’il reste ... pour un nouveau coup de rabot sur notre pouvoir d’achat !

Rien n’est fait pour les pensions les plus modestes. De plus, comment comprendre que la commission économique de la Nation ait ramené à 1,2% le 19 mars l’ inflation prévisionnelle en 2013 fixée à 1,75% par la loi de financement de la Sécurité sociale ?

Réforme des retraites, du financement de la protection sociale, de la perte d’autonomie : la pression est forte, et insupportable, pour faire payer les retraités.

 RASSEMBLONS-NOUS pour exprimer NOS EXIGENCES SOCIALES,

  • celle de la défense du pouvoir d’achat des retraités,
  • d’un accès aux soins pour tous et d’une protection sociale de haut niveau,
  • de la prise en charge de la perte d’autonomie dans le cadre de la sécurité sociale

  JEUDI 28 mars 2013, à l’appel de la FSU et de la CGT retraités

Rendez-vous à 14h30 au métro Ecole Militaire

pour nous rendre au ministère des affaires sociales et de la santé
(une délégation intersyndicale a demandé à être reçue)

  • dans le même temps, les Unions confédérales de retraités CGT, CFDT, CGC, CFTC, FO et la FGR-FP demandent une audience au premier ministre
  • le 26 mars la FSU, UNIR-SOLIDAIRES, UCR-CGT, UCR-FO sont reçues à l’Élysée pour porter une lettre commune au président de la République et défendre nos revendications.

M. Beaulu-Barlier